Glossaire

  • Un virage est un traitement chimique réalisé lors du développement d’un tirage argentique noir et blanc sur papier. Un virage peut avoir divers effets, il peut donner une teinte à l’image, accentuer le contraste, ou améliorer la stabilité des images dans le temps. Pour cela, une partie de l’argent de l’im...
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  • C’est la technologie de tirage numérique de qualité (couleur ou noir et blanc) sur du véritable papier photo argentique.  Le papier photo sensible est exposé en haute résolution par balayage avec 3 faisceaux laser rouge, vert et bleu. Il est ensuite développé dans une chimie RA-4 traditionnelle puis lavé et...
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  • Un tirage est dit d’époque, ou vintage, est un tirage contemporain de la prise de vue. Lorsque la photographie est tirée plus de 3-4 ans après la prise de vue, on parle de tirage postérieur ou de tirage tardif. La valeur d’un tirage d’époque est essentiellement historique. Certains tirages tardifs ont un mei...
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  • Les termes de « photographie originale », de « tirage original » ou encore d’« épreuve originale », définissent une seule et même chose. Il s’agit en photographie d’un tirage définitif, c’est-à-dire réalisé selon les prescriptions finales de l’artiste – que cela concerne les contrastes ou le pa...
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  • Le tirage, c’est l’opération qui va permettre d’obtenir, à partir du négatif, un ou plusieurs positifs en inversant la gamme des gris (du négatif) pour retrouver les valeurs du sujet ; Le mot tirage désigne à la fois le résultat et l’opération qui, de nos jours, se pratique généralement au laboratoir...
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  • Un sténopé est un dispositif optique primitif qui repose sur des principes optiques élémentaires. Il s’agit d’une simple chambre noire dépourvue d’optique en verre. Un trou minuscule, percé dans la boîte, fait office d’objectif. La lumière passe par cet interstice et vient frapper la face opposée de la...
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  • Aujourd’hui, c’est généralement une image sur papier photographique industriel (au bromure ou au chlorobromure d’argent) ou artisanal (les firmes photographiques ayant abandonné la fabrication d’émulsions positives non argentiques comme le papier au charbon, au platine, au palladium, etc, des photographes r...
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  • Les tirages sur papier salé furent inventés par Henry Fox TALBOT dans les années 1830. À partir de 1839 et jusqu’au début des années 1860, ils constituent la technique de tirage dominante, servant généralement à réaliser des tirages positifs des calotypes. Le nom de « papier salé » provient de la nature ...
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  • Il permet de donner une présence indiscutable à l'image, grâce à ses accents puissants et à ses colorations variées. Ce papier sera fabriqué par l'utilisateur. Sa pratique peut sembler assez délicate mais elle s'acquiert rapidement. Les épreuves au charbon sont absolument inaltérables.
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  • Après la prise de vue, l’image latente devient “négatif” lors du développement. Le format du négatif est lié au format de l’appareil photographique : on parle, par exemple, de 24 x 36 mm (les américains disent 35mm), de 6x6 (cm), de 4 x 5 (inches, c’est à dire 10 x12,5 cm), de 13x18(cm), de 20x25(cm),...
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  • Le tirage albuminé fut inventé vers 1850 par Louis Désiré BLANQUART-EVRARD (1802-1872), qui le présenta à l’Académie des Sciences en mai 1850. Il succède au tirage sur papier salé et fut le premier procédé exploité commercialement pour réaliser des tirages de photographies à partir d'un négatif. Ce pr...
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  • Le procédé photographique à la gomme bichromatée est une technique de tirage ancienne. Il s’agit d’un procédé non-argentique, qui fait partie de la famille des tirages pigmentaires. C’est au début des années 1850 qu’Alphonse POITEVIN découvre la sensibilité à la lumière du mélange gomme arabique, d...
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  • L’héliogravure, aussi parfois appelée photogravure ou gravure héliographique, est un procédé de reproduction photomécanique. L’héliogravure permet de reporter une image sur une plaque métallique par une action photochimique, en vue de l’imprimer. Le terme « héliogravure » renvoie au soleil et à l’i...
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  • Le ferrotype, aussi appelé tintype et melainotype, est un procédé photographique ancien. Une plaque de tôle est sensibilisée par l’application d’un vernis et d’une émulsion au collodion. L’image obtenue après la prise de vue et son développent est un négatif. Il apparaît en positif grâce à son suppo...
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  • Une épreuve de lecture est un tirage destiné à être annoté. Il est le plus souvent brut, sans grande finesse. Tandis que la planche contact permet de choisir l’image à développer, l’épreuve de lecture est le support qui doit permettre au photographe de préciser ses choix de développement. Le photographe p...
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  • Le daguerréotype est une ancienne technique de photographie, très répandue au milieu du XIXe siècle. L’image obtenue, du même nom, est réalisée à partir d’une plaque de cuivre couverte d’argent. Elle est polie et sensibilisée à la lumière grâce à de l’halogénure d’argent.  Après avoir été se...
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  • Le cyanotype est un procédé photographique monochrome positif ancien. Il permet d’obtenir des tirages photographiques allant du bleu cyan à des bleus plus profonds. Cette technique a été mise au point en 1842 par le scientifique et astronome anglais John HERSCHEL. Contemporain de DAGUERRE et TALBOT, il s’int...
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  • Un contretype est une reproduction obtenue par la photographie d’une épreuve déjà existante. Il s’agit donc de la photographie d’une photographie. Il existe plusieurs raisons qui justifient la création d’un contretype. La matrice originale a tout simplement pu être perdue ou dégradée. Quand un négatif ...
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  • Le collodion humide est un procédé photographique inventé par l'anglais Frederick Scott ARCHER en 1851. La technique utilise des plaques de verre enduites de collodion comme support sensible. Frederick Scott ARCHER cherchait une technique qui permettrait de combiner la finesse du daguerréotype et la reproductibili...
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  • L'Ilfochrome (connu aussi sous le nom de Cibachrome) est un procédé de tirage photographique couleur depuis un film inversible (ce dernier souvent sous la forme d'une diapositive couleur) produit par Ilford Photo. Les procédés de tirage couleur par destruction de pigments, également désignés comme « procédés...
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  • Le calotype est un procédé photographique ancien inventé par William Fox TALBOT en 1840. Il s’agit d’une image négative sur papier. Son tirage est possible, ce qui en fait le premier procédé photographique reproductible. Le terme calotype vient du grec kalos, signifiant « beau », et de typos, pour « impres...
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  • Le callitype ou kallitype est un procédé photographique ancien à base d'oxalate ferrique donnant des images aux tons sépias. Il est inventé en 1889 par le chimiste écossais William Walker James NICOL (W.W.J. NICOL). Ce dernier se base sur les travaux de HERSCHEL, inventeur du cyanotype. Le callitype suit les mê...
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  • Le bromure d’argent (AgBr) est un sel insoluble de couleur jaune pâle, bien connu pour sa sensibilité inhabituelle à la lumière comme les autres halogénures d’argent. Cette propriété a permis aux halogénures d’argent de devenir le matériau de base de la photographie moderne. Le bromure d’argent est lar...
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  • Le Bromoil (aussi appelé oléobromie), l’oléotypie et le tirage à l’huile, sont des techniques cousines qui reposent sur la répulsion de l'eau par des corps gras – bien souvent l’huile mais aussi des encres grasses. Le tirage à l’huile est décrit par Alphonse POITEVIN dès 1855. Cet ingénieur et photo...
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  • L'autochrome est un procédé photographique couleur breveté le 17 décembre 1903 par les frères Auguste et Louis Lumière. Avant sa commercialisation, ils diffusent le procédé auprès de certains photographes privilégiés, tel que Sergueï Prokoudine-Gorski. La commercialisation débute en 1907 et la technique...
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  • L’invention de l’ambrotype s’est faite par chance et par tâtonnement. Son histoire débute dans les années 1850, en même temps que l’invention des négatifs sur plaque de verre (dit : procédé au collodion humide). À cette époque, les pionniers de la photographie s’ingénient à découvrir de nouveau...
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